Il y a de cela bien longtemps dans un
village d’Afrique...
Un enfant se leva de façon brusque de son lit, comme un ressenti très fort qui le conduisait à sortir de sa chambre.
Il se dirigea vers la porte, l’ouvrit et posa son pied à l’extérieur de la maison.
A cet instant précis il leva la tête vers le ciel pour contempler cette luminosité il ressentit comme un souffle sur son visage, un souffle venu de nulle part et se propageant tout autour de lui.
Cet enfant commença à avancer dans l'obscurité, ses pas les uns derrière les autres s’enchaînèrent pour le conduire.
Il alla de village en village et à chacune de ses rencontres les gens lui demandaient ce qu’il faisait ici tout seul.
Alors il leur répondit : "Je marche derrière ce vent qui a emporté avec lui mes rêves".
Beaucoup de personne furent étonnées de ces mots, et certaines lui donnèrent à manger à boire en lui souhaitant bonne route.
Il traversa ainsi des vallées, des montagnes et à chaque fois la même chose il courait derrière ses rêves emportés par le vent.
A chaque village, à chaque contrée il sema ses mots, ses espoirs de rêve.
Il continua ainsi son périple et les jours, les années passèrent tout en continuant à marcher derrière ce vent porteur de rêves.
Il rencontra des milliers de personnes et à un moment une personne lui demanda encore :
— Pourquoi marches-tu ainsi et pourquoi ce vent t’a volé tes rêves ?
Alors l’enfant devenu adulte lui dit :
— Ce vent ne m’a rien volé mais bien au contraire il m’a permis d’aller au-delà de mes espoirs, de me dépasser, de me porter.
C'est ainsi qu’il parcouru le monde pour ensemencer en chacune des personnes la sagesse, le savoir qu’il avait su recevoir au travers de toutes ses rencontres. Il portait en lui un regard autre sur les éléments les coutumes, et les croyances.
En ouvrant son cœur il avait laissé s’engouffrer un vent de pensées porteur de magie.
Ainsi dans certain village quand le vent souffle on s’attend à voir venir cet enfant porteur de rêves.
Alors il m’arrive par moment de dire quand je vois mon fils les larmes aux yeux : "Place toi face au vent il viendra sécher tes larmes car ce n’est pas le vent mais bien ce qu’il porte avec lui qui agit sur tes larmes."
Un enfant se leva de façon brusque de son lit, comme un ressenti très fort qui le conduisait à sortir de sa chambre.
Il se dirigea vers la porte, l’ouvrit et posa son pied à l’extérieur de la maison.
A cet instant précis il leva la tête vers le ciel pour contempler cette luminosité il ressentit comme un souffle sur son visage, un souffle venu de nulle part et se propageant tout autour de lui.
Cet enfant commença à avancer dans l'obscurité, ses pas les uns derrière les autres s’enchaînèrent pour le conduire.
Il alla de village en village et à chacune de ses rencontres les gens lui demandaient ce qu’il faisait ici tout seul.
Alors il leur répondit : "Je marche derrière ce vent qui a emporté avec lui mes rêves".
Beaucoup de personne furent étonnées de ces mots, et certaines lui donnèrent à manger à boire en lui souhaitant bonne route.
Il traversa ainsi des vallées, des montagnes et à chaque fois la même chose il courait derrière ses rêves emportés par le vent.
A chaque village, à chaque contrée il sema ses mots, ses espoirs de rêve.
Il continua ainsi son périple et les jours, les années passèrent tout en continuant à marcher derrière ce vent porteur de rêves.
Il rencontra des milliers de personnes et à un moment une personne lui demanda encore :
— Pourquoi marches-tu ainsi et pourquoi ce vent t’a volé tes rêves ?
Alors l’enfant devenu adulte lui dit :
— Ce vent ne m’a rien volé mais bien au contraire il m’a permis d’aller au-delà de mes espoirs, de me dépasser, de me porter.
C'est ainsi qu’il parcouru le monde pour ensemencer en chacune des personnes la sagesse, le savoir qu’il avait su recevoir au travers de toutes ses rencontres. Il portait en lui un regard autre sur les éléments les coutumes, et les croyances.
En ouvrant son cœur il avait laissé s’engouffrer un vent de pensées porteur de magie.
Ainsi dans certain village quand le vent souffle on s’attend à voir venir cet enfant porteur de rêves.
Alors il m’arrive par moment de dire quand je vois mon fils les larmes aux yeux : "Place toi face au vent il viendra sécher tes larmes car ce n’est pas le vent mais bien ce qu’il porte avec lui qui agit sur tes larmes."
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