mardi 28 septembre 2021

Un Phénix peut en cacher un autre !





Aujourd’hui, nous parlerons du phénix, l’oiseau qui renaît de ses cendres. 


un Phoenix, est un oiseau fabuleux  doué d'une grande longévité et caractérisé par son pouvoir de renaître après s'être consumé dans les flammes. Il symbolise ainsi les cycles de mort et de résurrection. Son surnom moderne est l'oiseau de feu qui, suivant les Égyptiens, se rendait tous les cinq cents ans, d'Arabie à Héliopolis, pour rendre les derniers devoirs à son père, qu'il embaumait dans la myrrhe. Il était semblable à un aigle, et ses plumes jetaient des reflets de pourpre et d'or. On rapporte encore sur lui diverses traditions : quand le Phénix sentait approcher la fin de sa vie, il se construisait en Arabie un nid, auquel il communiquait la faculté génératrice, et d'où sortait bientôt un jeune Phénix, qui brûlait son père sur l'autel du soleil.


Le phénix était un oiseau indien, qui, après avoir atteint l'âge de cinq cent ou de quatorze cent soixante-un ans, se brûlait lui-même.

Il n'y avait jamais en même temps qu'un seul Phénix, lequel se bâtissait un nid de plantes aromatiques. De son cadavre sortait un ver que la chaleur fécondante des rayons du soleil transformait bientôt en un oiseau splendide. Chaque Phénix venait mourir en Égypte, au bout de sept mille six ans.

Quand le Phénix a vécu cinq cent ans, il se bâtit un bûcher aromatique, se place dessus et meurt. Mais du cadavre putréfié sort bientôt le même oiseau rajeuni, qui, saisissant ses os, les porte, embaumés dans la myrrhe, à Héliopolis, où il les brûle.

Son nid est aux sources du Nil. Au moment de mourir pour bientôt renaître, il entonne, comme le cygne, un chant de mort.

Il existe de semblables mythes chez les Persans, sur l'oiseau Simorg ou Rokh, chez les Indiens, sur le Sémendar, chez les cHinois sous le nom de Fenghuang et chez les Aborigènes, en Australie, sous le nom d’oiseau Minka. 

Source : Wikipedia et 1001mythes.net

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