Un très vieux sage vivait tout là-haut dans une montagne aux pentes très
abruptes. Les gens d'en bas, dans la plaine, allaient régulièrement le
consulter lorsque se présentait un problème insoluble pour eux. Et vous savez
quoi, le vieux sage avait toujours la solution juste.
Pour se faire, les gens d'en bas devaient escalader cette montagne aux pentes très abruptes pendant trois jours et trois nuits pour le consulter, c'était une tâche très ardue.
Un beau jour, les gens d'en bas se réunirent pour parler du vieux sage.
Un jeune homme de forte tête leur dit qu'il en avait assez d'avoir à grimper la montagne à chaque fois qu'il avait une question d'ordre existentielle. Il en avait assez et voulait que cela cesse et ne plus avoir à grimper là-haut pour consulter le vieux sage et tenter de mettre celui-ci en déroute avec une question piège. En fait, il demanda aux gens qui étaient avec lui de l'aider.
Il imagina toute sortes de questions et chaque fois que quelqu'un en proposait une nouvelle, une autre personne disait : "je lui ai déjà demander cela et il m'a répondu".
Alors le jeune homme entêté à réussir son exploit, à savoir, intimider le vieux sage, dit :
« Je sais, je vais attraper un oiseau à l'aide d'une cage et lorsque je serai en face du vieux sage je lui demanderai : est-ce que l'oiseau que je tiens dans mes mains est mort ou vivant ? S'il répond qu'il est mort, je le laisse s'envoler, et s'il répond qu'il est vivant je le tue et lui montre l'évidence de sa tromperie. »
Alors tous les habitants d'en bas escaladèrent la montagne pendant trois jours et trois nuits pour voir la défaite du vieux sage. Ils arrivèrent en haut avec les vêtements tout déchirés un peu partout, et voilà que le jeune homme dit : bonjour vieux sage comment allez-vous ?
Le vieux sage regarda chacun, un par un dans les yeux en les scrutant de haut en bas. Notre jeune homme dit alors, vieux sage, nous avons une question pour toi, « L'oiseau que je tiens dans mes mains, est-t-il mort ou vivant ? » Alors le vieux sage regarda chacun encore dans les yeux un par un en prenant son temps et en les scrutant de haut en bas.
Ensuite le vieux sage regarda le jeune homme et dit : « Mon jeune ami, . . . la Vie de cet oiseau est entre vos mains »
Pour se faire, les gens d'en bas devaient escalader cette montagne aux pentes très abruptes pendant trois jours et trois nuits pour le consulter, c'était une tâche très ardue.
Un beau jour, les gens d'en bas se réunirent pour parler du vieux sage.
Un jeune homme de forte tête leur dit qu'il en avait assez d'avoir à grimper la montagne à chaque fois qu'il avait une question d'ordre existentielle. Il en avait assez et voulait que cela cesse et ne plus avoir à grimper là-haut pour consulter le vieux sage et tenter de mettre celui-ci en déroute avec une question piège. En fait, il demanda aux gens qui étaient avec lui de l'aider.
Il imagina toute sortes de questions et chaque fois que quelqu'un en proposait une nouvelle, une autre personne disait : "je lui ai déjà demander cela et il m'a répondu".
Alors le jeune homme entêté à réussir son exploit, à savoir, intimider le vieux sage, dit :
« Je sais, je vais attraper un oiseau à l'aide d'une cage et lorsque je serai en face du vieux sage je lui demanderai : est-ce que l'oiseau que je tiens dans mes mains est mort ou vivant ? S'il répond qu'il est mort, je le laisse s'envoler, et s'il répond qu'il est vivant je le tue et lui montre l'évidence de sa tromperie. »
Alors tous les habitants d'en bas escaladèrent la montagne pendant trois jours et trois nuits pour voir la défaite du vieux sage. Ils arrivèrent en haut avec les vêtements tout déchirés un peu partout, et voilà que le jeune homme dit : bonjour vieux sage comment allez-vous ?
Le vieux sage regarda chacun, un par un dans les yeux en les scrutant de haut en bas. Notre jeune homme dit alors, vieux sage, nous avons une question pour toi, « L'oiseau que je tiens dans mes mains, est-t-il mort ou vivant ? » Alors le vieux sage regarda chacun encore dans les yeux un par un en prenant son temps et en les scrutant de haut en bas.
Ensuite le vieux sage regarda le jeune homme et dit : « Mon jeune ami, . . . la Vie de cet oiseau est entre vos mains »
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