vendredi 4 octobre 2024

S’épuiser et mourir au travail ? Oui, mais mort lente...

Le livre vaut mieux que son titre. Voici un livre kindle (Amazon) qui regroupe toutes une série d’études et de méthodes pour y parvenir, si ce n’est en moins de temps et/ou  en dépensant moins d’énergie. 

 




Si je parodiais Georges Brassens, je pourrais dire : « Mourir pour son travail ? Oui, mais de mort lente ». 

 

C’est un sujet que j’ai à cœur et j’ai déjà publié plusieurs posts  ici ou   sur ce sujet . 

 

Que vous apporte ce livre ? Une remise en cause de votre approche.

 

Deux extraits : « Nous tentons de mesurer notre réussite par des indicateurs peu pertinents ou par des critères subjectifs visibles et tangibles (souvent sous forme de graphique avec du vert ou rouge). Nous travaillons plus pour avoir autant voire moins. »

 

« il y a un lien entre travail, l’effort et la souffrance. Dans les études conduite dans les années 1960 ont montré que la douleur et le plaisir sont corrélés. La suractivité libère des endorphines (hormone du bonheur) avant de nous faire tomber dans le burnout et le cynisme : « tout cela pour ça ». 

 

C’est peut-être banal, diriez-vous. Oui, mais la pratiquez-vous ? Dans ce livre, il y a des questions qui méritent réflexion et des pistes de solution. C’est ce qui en fait l’originalité. Vous vous dites « je sais » et  vous réalisez que vous ne le  faites pas forcément

 

Cela vous parle ? 

 

Pour ma part, j’ai noté trois points

 

·      Le « système » nous conduit à l’insuccès : « Nous tentons de mesurer notre réussite par des indicateurs peu pertinents ou par des critères subjectifs visibles et tangibles (souvent sous forme de graphique avec du vert ou rouge). Nous travaillons plus pour avoir autant voire moins. » 

·      Ne pas en faire de trop, savoir s’arrêter à temps dans son effort : « si vous essayez d'être parfait, alors vous serez imparfait. Car si vous voulez être parfait, alors vous admettez que vous devez changer pour y parvenir »

·      Avoir un petit réseau bien choisi  : « Peu importe les modèles sociétaux, il semblerait que les êtres humains ont en moyenne 2 amis d'enfance, et 3 amis significatifs supplémentaires en étant adulte. » 

 

Un autre livre sur le même sujet ? Celui de Tal Ben Shahar, l’apprentissage de l’imperfection, Pocket, 2011. 

 

A bon entendeur, salut !

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